Un lundi soir...
"Dormir, il faudait dormir..." me dit cette petite lueur de conscience qui à encore et toujours raison. Et pourtant, je suis là, le nez collé à cet écran. Discussion en direct, c'est bien, mais le dodo est loin.
Une grosse journée de travail, formateur abscent, personne remplace, tout le monde s'agite; et moi, habitué de ce lieu, je ne m'inquiéte plus, je raisonne et je m'abandonne à toute sorte de commentaires.
Il est 22h50, une heure tardive où tout est si calme, mes oreilles sensibles se reposent, ma vue oci, les nerfs se lâches, plus de force. Le plus beau des moments de la journée arrive, je suis seul (peut-être trop..) mais je suis tellement bien. Je pence à tout et à rien: je rêve.
Demain seras un autre jour. Je reviendrais avec de nouvelles idées... "bona neï"...